Pli à l'intention des Chefs (Pachas/vizirs, etc) de Najar

*La présente missive fut porté aux Pachas à l'orée du désert par un Cavalier Nehta. Ce dernier remis le pli et ne dis que quelques mots avant de retourner d'où il venait.*

- Delwis. Je suis Éoridas Livalar, Nehta d'Ilidelwis. Je vous amène cette missive de la part d'Elrohir Ardamir, Tatya-Vanda d'Ilidelwis. Remettez-le aux dirigeants Vizirs et Pachas de votre peuple. Tael et Delwas.

Citation :

Delwis,

Je suis Elrohir Ardamir, Tatya-Vanda d'Ilidelwis (second-chef des troupes armées d'Ilidelwis, cité Daelwena-Nalkiri). Je vous adresse cette missive suite à un incident qui s'est produit sur les terres de mon peuple. Je vous résumerai ici brièvement les faits. Je vous aviserai ensuite des conséquences de ce geste et de la réparation attendu, pour que nos peuples puissent peut-être coopérer, si vous le voulez, dans les temps à venir.

Aujourd'hui le [21 mars 2011], une troupe de Kheijan (4) accompagnée d'un Nalkiri de votre peuple (Hok'ee) est venue au Wak d'Ilidelwis, sans nous aviser d'abord, alors que vous étiez pourtant interdi d'accès. Le chef du groupe, Rhaskeh, à dit vouloir discuter avec un représentant du peuple (en l'occurence, c'aurait surement été moi-même). Il s'est ravisé, proposant que nous nous rencontrions une autre fois, dans une rencontre formelle et prévue à l'avance (plus sérieuse, a-t-il dit).

Avant de partir, un des membres du groupe de vos Kheijans nous à avisé qu'un Gorlak rodait près de nos terres et de nos maisons. Je suis donc parti seul vérifier les alentours de mes terres. Comme je percevais qu'il pouvait effectivement y avoir un danger, je suis repassé à l'Étable du Wak (Taica Miril) et j'ai pris un de mes teldilims animal, en l'occurence un Scorpion (dressé dans votre désert, avec mon owel Korr, après avoir recu la permission de Sarkis Krophek).

Avant que je ne puisse retourner à la recherche du Gorlak, l'un des quatres Kheijans s'est approché de moi avec insistance, et n'a was reculé quand je lui ai demandé. J'ai tenté de prendre mon livre de magie, et il avait disparu (nous sommes, je précise, toujours sur les terres d'Ilidelwis). Le kheijan en question, voyant que je constatais que mon livre avait disparu, à pris la fuite. J'ai demandé au Chef du groupe de votre peuple d'exigé du volleur qu'il me rapporte mon livre, ce qu'il a refusé. J'ai alors demandé à mes hommes de s'armer, et j'ai exigé le départ immédiat du convoit.

Les trois Kheijans restant et le Nalkiri Hok ont menacé de mort mes Nehtas s'ils m'aidaient à poursuivre le volleur. Nous avons décidé de laisser partir tout le monde, en exigeant qu'ils rapportent au plus vite le livre et qu'ils amènent le volleur.

* Voici les conditions émises : Rapportez mon grimoire (ou un grimoire plein), amenez le volleur, pour qu'il subisse la justice d'Ilidelwis et soit condamné pour son crime. J'ajoute une nouvelle demande : Le Chef de la déléguation ou un autre devra présenter des excuses pour les menaces de mort proféré à l'égard des membres du peuple d'Ilidelwis.

* Les conséquences du geste, des menaces et de toute l'affaire sont les suivantes : Suspensions des discutions qui allaient peut-être avoir lieux. Suspension du droit d'accès au Wak du Nalkiri de Najar'him, Hok'ee. Suspensions des autorisations (qui auraient surement été émises) d'accès au Wak pour les membres du peuple Kheijan.

Si l'un des votres se présente sur nos terres pour une autre raison que rapporter le livre et/ou le coupable, il sera averti de partir rapidement (si vous voulez une rencontre diplomatique, envoyez une misive). S'il refuse, il subira le même traitement que n'importe quel brigand, ennemi ou membre d'une race ayant une relation de neutralité (aucun traité) avec Ilidelwis : il sera chassé du Wak par la force.


J'espère que vous acquiescerai à ces demandes, et que vous ferez ce qui doit être fait pour que d'éventuels négociations soient possibles.

Delwas.

- Elrohir Ardamir,
Tatya-Vanda d'Ilidelwis

Sarkis tourna la tête vers son jeelad pacha

Traité comme un ennemi pour le vol d'un bouquin et quelque parole?
Depuis quand un Kheijan acceptera de plier à une menace de ce genre ou même livrer un frère pour ses actes. C'est dans l'ordre et la fraternité que nous serons l'élite. Il faudra lui faire comprendre verbalement ou part écrit qu'il ne recevra aucune soumission de notre part et aucune excuse pour l'acte décrite dans cette lettre.

Le pacha Al Saala répondit à son frere:

Les kheijans n'ont pas coutumes de dénoncer la famille.
Cependant, j'aimerai bien savoir qui est derrière tout ça.

Que nos freres nous le fasse savoir par missive privé si ils ont besoin.

Pour ce qui est de la missive et de leur air supérieur qu'ils prennent à vouloir nous privé de leur accès, c'est juste Pitoyable.
Ils auront donc en conséquences une interdiction d'accès équivalente à nos terres, sans exception.

J'ai rien à cacher. J'etais du groupe, mais je ne suis nohem le voleur. Nous somme allé, moi et Rhaskeh brigander un des boulets du clan des Gwaaz. Avec l'or que ce minable Gorlak nous a laissé, nous avons decidé que Taica pourrait surment nous payer la traite avec cette or, nous avions faim. En chemin nous sommes tombé sur Hok'ee et le voleur (S'il veut s'identifier, il le fera, de toute manière, Rashkeh et Hok'ee savent cest qui, libre à eux de le dire ou neh).

Une fois sur les lieu nous avons été mal acceuillit, les gens arrivaient de partout pour mieu nous foutre dehor. Rhaskeh a voulu parler de ca en sérieux avec un de leur supérieur, on dirait que ça a raté, Peh! Nous nous somme éloigné du feu qu'ils idolâtrent tant, pour discuter, le voleur semblait manquer a l'apelle, mais il a fini par revenir pour nous dire qu'on avait plus rien a faire ici et que c'était le temps de partir. Voyant qu'on ne l'écoutait nohem, il est parti seul. Il semblait calme.

C'est alors que les menaces ont commencé a fuser de toute part, les gens revenaient armés, les éleveurs arrivaient avec leur créatures (je tiens a souligner ici que je ne suis nohem en accord avec le fais que l'un d'eux ai un roi scorpion de notre Khandrass, mais si le Pacha Sarkis a accepté..J'imagine que cela devait être une bonne idée, dans un sens qu'il pourrait peut-etre nous expliquer). Ils ont commencé a nous donner des ordres "rammenez nous le voleur" etc. "Si nous ne le faites nohem, on le tuera". Rhaskeh a tout de suite prit la défense du voleur, menaçant ouvertement que tout ceux qui voudrons approcher le voleur, se verra tué de sa propre lame. La plupart des Nalkiris et Daelwenas ont prit ca pour une menace de mort directe et ont commencé a nous menacer aussi et nous prier de quitter. Apres quelques échanges verbaux entre nous et ces barbares, nous avons quitté leur campement pour nous arreter a la lisiere de leur territoire.

L'un de leur chef...Elrohir Ardamir, je crois, est revenu pour nous citer les nouvelles regles à suivre celon lui. Ce qui revenait assez brusquement à nous tuer a vue si on venait pour rien. Rhaskeh lui a alors ordonné de quitter sineh c'était lui qui allait etre exécuter sur le champs par nous. Fais amusant, meme si nous étions sur leur territoire encore, leur chef a ecouté Rhaskeh et est partie. Nous avons bien rit!

Au bout du compte nous n'avons jamais pu manger, c'était vraiment minable.

(HRP: By the way Rokkhan, jai Google la toune dans ta signature, pis cest vraiment affreux )

Fahij pour l'explication.
Si ils vous ont menacer, leur comportement est inacceptable. Vous avez agis en Kheijan en ne vous laissant neh faire face a cet affront.

Affaire réglée.

Le Pacha avait eut vent quelques heures plus tard du nom du frere voleur, dont il se doutait bien de qui il s'agissait. Cependant, il répondit à l'étranger auteur de la missive envoyé aux dirigeants de Najar him, que le peuple élite ne s'excuserait pas pour ce qui a été fait, et que Najar him ne connaissait pas le nom du voleur, qui est surement un homme ayant agis dans l'intérêt de nourrir sa famille.

De plus, le peuple de la foret ayant voulus condamner le peuple élite à ne pas franchir ces barrières et ce, sans ayant recus la moindre réponse de notre part, les kheijan prendront la meme liberté en appliquant l'interdiction totale de fouler leur terre sous peine d'en subir les conséquences.

A vouloir etre trop strict avec un peuple ayant la reputation de ne pas etre patient, il faut pas s'attendre a de la gentillesse en retour.

Spoiler: