Missive adressée à Ibn Hajjad AlSaala

Trouver un coursier pour se rendre jusqu'à Najar'him n'est vraiment pas une mince affaire... Surtout pour avoir confiance que celui-ci ce rendant à bon port. Elle ne prit donc pas de chance en écrivant trois missives. Après une longue recherche et négociation, elle trouva un bateau de commerce qui arrêtait à Najar'him, négociant une forte récompense en retour avec une réponse. Dans un second temps, elle s'adressa a l'agence de poste de Tyrimar, lorsqu'elle fit mention du désert, son regard changea. Les routes étaient devenu dangereuse il le savait mais traverser le Khandrass sans s'y perdre ou y mourir était un exploit. Il lui demanda une prime de risque et ne pu pas lui dire quand le destinataire la recevra...Pour ce qui est de la dernière, elle la garda sur elle dans l'attente de résultat. Le message prie donc plusieurs jours pour se rendre finalement dans le main du pacha.

Citation :

Mes respect à vous fier protecteur du Khandrass,

Votre rencontre et notre discussion sur les terres de Citria m'ont laissé matière à réflexion. Vous m'avez également fait l'honneur de me présenter votre fier ce que je considère être une marque de respect ainsi que des premier pas.

Je dois également vous dire Fajli pour me laisser le choix, de m'avoir écouter et j'espere, comprise.

Pour vous rafraichir la mémoire ou simplement le faire par ecrit, je vous expliquai pour qu'elle raison je ne suis pas a la place que vous juger qu'elle devrait être.

Je suis né a Tyrimar d'une femme hastane aprise d'un kheijan. Je ne l'ai jamais connu et j'ai toujours baigner dans la culture hastanienne sans pour autant y avoir mise les pieds dans ma jeunesse. Sans pouvoir affirmer mes paroles, mas pour une enfant, grandir a tyrimar comporte autant de risque que dans le désert, difficile, tout en étant bien différent.

Je ne vous écrit pas cela pour me faire prendre en pitié, mais simplement vous faire comprendre que je n'ai pas eu le choix, je n'ai pas eu de famille pour se serrer les coudes et s'entraider. J'ai du développer mon indépendance, mon instinct de survie, ma capacité a m'adapter au différente mentalité. Peut etre est ce grace au sang qui coule dans mes veines que je suis toujours en vie pour vous en parler.

Lors des trois dernières années, mes contactes avec le peuple du désert se sont multiplier. Dans un premier temps ce fut difficile, il régnait une discorde fondé sur l'ignorance et malentendu. Il y a une différence je crois entre une femme qui a retirer son voile et ce l'est fait arracher et une qui ne connaissait rien au meurt kheijan. C'est a ce moment que j'ai fais mes premier pas pour comprendre vos meurts et mentalité en écrivant a la doyenne pour lui demander une rencontre. Dela, découle d'autre rencontre dont avec le Pacha Lawrence et un drakan du Khandrass. Le pacha a interférer en ma faveur auprès du Akh'Pacha et du Cheik afin de m'autoriser à m'instruire. Ils acceptèrent avec condition, je devais leur être fidèle, ne pas entré dans la ville et le campement tant que mon éducation n'était pas compléter, qu'un vizir m'enseignerait la culture et la religion kheijan, que la doyenne m'apprendrait les coutume propre au femme et comment agir dans un salon de thé. J'ai accepté ces conditions, ne me sentant pas a l'aise d'entré dans la ville et le campement, nous n'avons qu'une seule chance pour la première impression. Les choses ne se passèrent pas aussi bien que je l'avais souhaité. La doyenne mourra, le pacha disparu avec le drakan. Sans ma formation compléter, et aucun vizir acceptant de poursuivre cette tache, je me suis vue dans une impasse.

Beaucoup d'événement se sont déroulés pour moi, pas des plus positif, qui ont fait en sorte que je me retire loin de l'agitation pour me recentrer, cherchant toujours mon équilibre. Je suis revenu depuis peu après une année, vous m'avez croisé peu de temps mon arrivé et je ne doutais vraiment pas avoir une tel offre de votre par. Vous comprendrez mes inquiétude à vous suivre, je ne voudrais pas aller à l'encontre de ce qui à décider ou dit. De plus, je ne vous l'ai pas caché, je suis engagé avec une personne.

Présentement je réside sur les terres de Citria, avant tout pour ma protection, Tyrimar étant devenu trop agité par de la guerre. Je suis une résidante de Teilia et non de citria, je préfère m'afficher pour aucune ville si ce n'est Tyrimar, la ville neutre.

Je ne vous cacherez pas que cette envie d'apprendre plus sur votre culture est toujours présente. Y aura t-il un vizir accepta de m'enseigner dans le respect parmi vous ? La doyenne acceptera t-elle de me rencontrer ? Vous pouvez considérer cette lettre comme une seconde approche, avec toute la franchise qui m'est propre, je n'ai rien à vous cacher.

Paix et prospérité

Dalilla

Bien que la réponse mis un certains temps à arriver au Khandraas, vu le danger omniprésent pour ceux qui n'y sont pas initiés, un retour de la missive fut quand à elle, rapide, et sans embuche.
Elle ne provenait plus du même messager, qui avait indiqué à Dalila à quel point le Khandraas était devenus plus dangereux et redoutable qu'auparavant.
Il y avait à la place une silhouette encapuchonné, homme ou femme? Impossible de le savoir.
Juste une missive en main que la silhouette donna directement dans la main de Dalila, avant de partir en la pointant du doigt.
Aucun doute possible sur la nature de la missive, elle portait le sceau de l'élite et l'embllème du clan Pacha.

Kahim femme,

J'ai bien pris note de ta missive.

Tu désires renouer contact avec ton peuple, et Najar him rappel les siens.
Si tu désires renouer avec nos cultures et traditions, des aspirants vizirs se chargeront de ton éducation.

Cependant tu devras te plier à nos règles, dès que tu auras franchis les portes du Khandraas.
Autre choses, il faut que tu saches qu'avec la guerre qui s'annonce entre citria et les mortanyss, tu ne seras neh en sécurité là bas.. Et les Kheijans n'assureront neh ta protection si tu es en dehors de nos terres.

Bien entendut, tu te doutes bien que, nous n'aimons neh que les gens viennent prendre des informations puis repartent comme si de rien était. Aucune information ne sors des murs de Najar him, surtout si c'est pour que sa circule du côté de Citria. Il est donc hors de question de venir "juste pour voir", et repartir. Si tu viens, tu t'engages de par ton sang à servir Najar him, et à la respecter. Tu peux garder maison à l'extérieur si tu le veux, mais ta terre sera le Khandraas. Nulle part ailleurs.

Saches que je t'accorde grande bonté de par mon geste, je suis magnanime avec toi, d'autres n'ont neh eut cette chance..
Ne t'amuses neh à trahir cette confiance ainsi que ce geste qui t'es offert.

Rokhan Ibn Hajjad Al Saala

Cette fois ci, un enfant remi le message au pacha en main propre.

Citation :

Kahim pacha,

Sache que j'ai toujours su respecter mes hôtes et faire honneur à la confiance qu'ils me font. J'ai déjà juré fidélité à votre peuple, de ne jamais vous nuire ou dire des paroles allant en leur défaveur.

Je me suis trouvé une escorte, un jelaad de confiance qui connait vos ports et qui j'espère, sera aussi bien accueillit que moi. Nous avons accosté durant la nuit et nous sommes rester sur son navire du nom de L'unique.

En espérant ton avale pour notre présence dans Najar'him ainsi que de pouvoir garder un emplacement au port.

Dalilla

Un Kheijan cette fois, à la fois simple en apparence mais un certains sourire aux levres avec une petite bourse apparement bien remplis, retourna une missive à Dalilla:

Kahim femme,

Le nom de ton jelaad? Et sa race?

Pour ce qui est de ton bateau, tu peux le laisser au port vay, fais le connaitre auprès de l'intendant pacha chargé de surveiller le port.

Pour toi déjà, l'accès à la ville est ouvert. Je te conseil d'être voilée et de faire preuve de grands respects aux tiens, si tu veux un retour accueillant..
Pour ton jelaad, nous verrons bien une fois que j'aurai des détails sur son identité.

Vient me trouver dès que possible, à la maison de thé, ou aux quartiers Pacha.

Shalam, Paix.