Un message cacheter par de l'ancre fut remie à un vizir, afin qu'il soit adressé remie au Grand'vizir. A son ouvertur un doux parfum de fleure pouvais s'échapper, laissant déjà prévoir que c'était une femme du désert qui l'avait écrite. L'écriture étais soignée, écrit avec une ancre bleu océan :
Kahim à toi noble Grand Vizir
je t'écris afin de te parler d'un grave problème du coté des femmes qui advient depuis délà plusieurs siècles. Celui des femmes veuves ou au époux disparus. Ces femmes qui ont perdu leur époux dans la guerre, dans un accident, par le biais du temps ou de la maladie, ainsi que c'elles qui ont perdu un époux, qui n'a point donner de nouvelle depuis des années, elles ont besoin d'aide.
Vay, ces femmes on l'appuis du reste du peuple, quelques hommes vont les aider un peu, mais souvent elle se retrouve seule dans une maison avec des enfants, sans hommes pour apporter de la nouriture, devant quêter celle-ci, les enfants se rende malade a n'avoir d'aide et les jeune garçon a bas de 10 ans n'ont aucun modèle masculin afin d'être fort.
Il ya aussi les femmes qui se retrouve sans mari, avec la possibilité d'avoir encore des enfants, mais qui ne peuvent plus en avoir et ainsi ne pourra bénir les terres du saint cheik de jeune garçons et filles. Elles sont oubliger de servire les hommes et de leur faire plaisir en ayant quelque fois quelque service en retours, vays, mais celà reste qu'elle ne serviront plus qu'à cela pour plusieurs, puisque ce n'est nohem toute femme qui sont doué de d'on artisanal.
Il arrive des fois que des femmes soit mal vue après celà, du qu'à leur époux était un simple homme sans vraiment eu le temps de se démontrer, elles n'ont rien, nohem de demeur. Étant mariées, elles ne peuvent nohem être toujours loger et nouris par le harèm, cela couterais trop chère à la longue, donc elle font le trotoire, puisque avoir aucun voile revient beaucoup au même pour ces femmes.
Je ne parle nohem seulement de caus epuisque mon époux ne donne nohem de nouvelle, moi, étant grande forgerrone de najar'him, je n'ai nohem beaucoup de problème, mais mes soeur si. Celà m'Attriste de voir leur condition, sans pouvoir faire quoi que se soit pour elle, qui n'ont plus vraiment d'avenir outre que simple servante dans la maison de thé.
J'espère que vous pourez régler se problème qui touche et touchera des femmes, afin qu'elles puissent avoir un avenir heureux.
Aliazadah'Mar