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 BG Kheijan

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MessageSujet: BG Kheijan   BG Kheijan I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:02

Citation :
BG des Kheijans


Brève description

Les Kheijans sont d'anciens prisonniers Hastanes détenus dans le désert qui se sont rebellés et sont restés cachés dans les sables avant de s'y installer définitivement. Avec le temps et l'isolement leurs croyances et traditions se différencièrent. La rudesse de leur environnement leur a forgé un caractère dur et brutal, fier et nerveux. La vie en autarcie et le manque de connaissances de la plupart d'entre-eux ont développé chez eux une crainte de la magie et de ce qui attrait à la nécromancie.

Les Kheijans considèrent la richesse comme le but de leur vie et aiment montrer leur fortune en or, chevaux et femmes. Le commerce est l'une de leur principale activité, plus ou moins légale, et sans réelle limite quand à la nature des produits vendus (de la simple information au contrat d'assassinat en passant par la vente d'épices et de bijoux). Les familles kheijannes ont une structure patriarcale ou le rôle des femmes est très limité.


Description générale

Prologue

Des heures et des heures à marcher dans le sable rugueux et infini de ce désert suffocant. Tout ne semblait que sable ici, vos yeux ne pouvant voir autre chose à l'horizon. La sueur s'écoulait sans relâche sur votre corps, frappé par la chaleur accablante du Khandrass. Soudain, une masse s'étire au loin, ressemblant communément à une cité entourée d'un manteau de sable en suspension dans le vent chaud. Après une analyse plus précise, brisant l'hypothèse d'un mirage ... vous constatez que le nuage de poussière est bien réel et causé par quelque chose de plus menaçant que les scorpions du Khandrass...

Ils arrivent. À grands coups de galops battant vivement le sable de leur répétition rapide. Les pachas, grands protecteurs du vaste désert et de sa cité fondent sur vous à vive allure. Vous réalisez soudainement qu'un désagrément bien plus grand que la déshydratation et la température infernale peut être trouvé dans le désert, pour un intrus. La colère de ses habitants face à un blasphème direct de leur valeurs, coutumes ou cultures. Fouler le sable de ses pas sans y avoir été permis ou sans affaires importantes en la cité du Roi-Soleil en constitue un. Prenez garde voyageur, ils sont là. Si vous parlez bien, alors ils vous accueilleront comme un dignitaire et un ami...mais si vous bafouillez, alors vous servirez de repas aux bêtes du désert.



Histoire

La majorité des peuples de Teilia est la création de l’un des cinq Cilias. Il n’en est pas ainsi pour les Kheijans, ce peuple s’étant créé par lui-même au fil des âges. En effet, en des temps très anciens, oubliés aujourd’hui de tous, les Kheijans furent Hastanes.

À l’origine, criminels récidivistes de la société Hastane, hommes et femmes coupables d’actes divers assez graves pour ne plus les vouloir au sein de la citadelle, mais insuffisants pour justifier une mise à mort, ils furent exilés dans le Khandraas, dans une colonie prisonnière nommée Iskanet, construite par les autorités militaires hastanes. On y utilisait les prisonniers afin d’exploiter les ressources du désert sous surveillance. Lentement, la colonie se développait, et les exploitations allaient bon train. Avec le temps les bagnards s'accoutumèrent au climat très contraignant du désert alors que leurs geôliers étaient souvent relevés par de fraîches recrues de Citria. Profitant d'un de ces renouvellement de la garde, un petit groupe de prisonnier décida de se faire la belle en prenant au passage quelques armes dans les quartiers des soldats. Mais la fuite tourna mal lorsque le cadavre d'un garde fut découvert. L'alarme fut alors donnée et la nouvelle de cette tentative entraina rapidement une révolte générale. De nombreux prisonniers périrent, cependant les plus rusés s'emparèrent d'armes, de provisions et de montures avant de s'éloigner hors de vue du bagne. Par la suite, ces groupes harcelèrent toutes les caravanes reliant la prison à Citria, les coupant peu à peu de tout renfort. Les forces hastanes s'épuisaient en patrouilles infructueuses dans le désert tandis que de plus en plus de petites escarmouches venaient frapper les abords même d'Iskanet. Finalement un des groupes de rebelle parvint à déverrouiller les cachots pendant une nuit et la garnison ne pu contenir le soulèvement.

Au fil du temps, l'instinct de survie des hommes prit le dessus. La nécessité de protéger la descendance et la femme capable de l'engendrer mit les hommes en avant de la société; ils étaient tout indiqués pour chasser et attaquer les voyageurs imprudents. Les femmes perdirent peu à peu leur notoriété hastane, trop occupées à gérer le foyer et les enfants afin qu'ils puissent avoir un avenir. Ainsi, plus les années s'écoulèrent, plus elles passèrent à un statut inférieur aux yeux de la société. Rapidement, le peuple se composa de meneurs et de menés. Il y eut plusieurs luttes parmi les meneurs, plus physiques que verbales, néanmoins après plusieurs jours, un homme se démarqua pour devenir le principal meneur de toute cette population. En effet, il semblait aussi fort que sage et c'est ainsi qu'il transforma ce peuple à l'aspect chaotique en peuple droit et discipliné. Cet homme choisi le titre de Cheikh et apporta une toute nouvelle philosophie dans cette race du désert nommée aujourd'hui Kheijan.

Les caractéristiques physiques Kheijannes ne furent pas la seule chose à changer. Les coutumes et croyances également s’adaptèrent en fonction de leur habitat. Le peuple, qui a un moment fut nomade afin d’éviter d’être surpris par leurs adversaires et ne jamais manquer de ressources, finit par se sédentariser à l’extrême Est du Khandraas, complètement à l’opposé d’Iskanet, dans un lieu fertile. Ils furent le peuple original de l’édification de la cité des sables : Najar’him.

Désormais, les Kheijans ne sont plus le groupe de criminels en fuite du passé, mais bien une société civilisée, orientée vers le commerce plus ou moins légal et possédant de fortes croyances.


Moeurs

De nos jours, les Kheijans sont également connus pour adorer l'or et les plus riches d'entre eux s'en couvrent fréquemment. Ils sont pour la plupart vénaux et âpres aux gains, ce qui en fait de farouches marchands et il n'est pas rare qu'une part de leurs ventes ou possessions soient le fruit de plusieurs vols ou de pillages. L'or émet les reflets du soleil et c'est en partie pour cela qu'ils le portent et l'affectionnent tout particulièrement.

Les kheijans présentent également une crainte presque naturelle pour la magie à laquelle ils n'ont pas été habituée. Ainsi face à tout événement sortant du rationnel et dont l'origine n'est pas une personne de confiance, un kheijan a tendance à rester à l'écart ou à agir de manière moins réfléchie. Cette crainte de l'ésotérisme est une des conséquence du renfermement des kheijans pendant les premiers temps et de l'éducation religieuse qu'ils ont été habitué à recevoir.

Ils restent cependant un peuple rude, marqué par la difficulté de la vie dans le désert. Ils appliquent donc dans leur pensées la même rigueur que leur environnement applique sur eux. Leurs points de vue sont parfois stricts voir même cruels, non pas dans l'amour de la cruauté mais simplement dans l'acceptation de la souffrance et de l'épreuve comme part normale de la vie.

Les kheijans ont également un rapport privilégié avec les chevaux. En effet ceux-ci sont une nécessité pour se déplacer efficacement dans le désert. ils ont donc été choyé par les hommes, certains pur sang Akhal ont même une valeur supérieure à celle de la dote d'une femme.


La mort : le Voriasham

Les Kheijans ont tous des croyances bien différentes en ce qui a trait aux nombreux aspects de la vie. Mais pour ce qui est de la mort, ils sont unanimes : il existe une vie après la mort : le Voriasham, l'illumination.
Cette philosophie donne l'espoir d'un monde meilleur, d'une place au sein de Al’Sithah.

Selon les textes une fois le Kheijan mort il est libéré de toute forme de responsabilité, de grief, vendettas, de rancune ainsi que de toute attache négative avec le monde des mortels. Autrement dit, il est désormais libre.
Son esprit passe dans le trépas et est jugé selon ses agissements et le respect des coutumes. Le Voriasham ne s'applique qu'aux Kheijans ayant eu une mort digne. Les lâches qui s'enlèveront la vie, n’y ont pas accès. Plusieurs superstitions coexistent à ce sujet, mais nul ne peut affirmer si elles sont vraies. L'une d'entre elle stipule que ceux ayant eu une mort indigne ou ayant été insolents face au Roi-Soleil seraient condamnés à errer dans le monde des mortels, vivant comme mort, dépourvu de sens du jugement, se véhiculant dans une enveloppe charnelle en putréfaction.

De part cette croyance du Voriasham tout ce qui attrait au monde du non-vivant est tabou pour les kheijans. Les mort-vivants sont évités tant que possible, à savoir tant qu'il ne représente pas une menace directe pour l'un des leurs. En effet toute mort réanimée est une malédiction incarnée, le symbole d'une âme indigne et souillée.


Épilogue

Ainsi, les croyances farouches des Kheijans les poussent à élaborer des dogmes beaucoup plus stricts et différents des cultes habituels. Sous la présence illustre du très-haut qui survole en permanence les saintes terres ensablées du Khandrass, quiconque oserait bafouer leur symbole de respect risquerait gros. Éternellement, le Soleil perdurera dans les cieux, tout comme le respect des Kheijans à son égard. Pouvant être aussi accueillants que menaçants, leur amitié est quelque chose de difficile à obtenir, mais d'incroyablement précieux.


Description physique

Corpulence
Les Kheijans ont une corpulence raisonnable. Les hommes pèsent en moyenne 70 kg pour 1m75, et les femmes pèsent 56kg pour 1m61. Leur musculature n'a pas le choix d'être bien définie, car chacun se doit d'être fort et tous savent que les faibles seront laissés derrière.

Pigmentation
Ils ont une peau très foncée, rugueuse et tannée qui va du brun sombre à plusieurs teintes de marron. Leurs cheveux sont longs et raides et vont d'un brun rouge au noir de jais. Les yeux des Kheijans sont habituellement d'un noir profond ou alors d’une couleur très sombre.

Habillement
La plupart d'entre eux arborent des tuniques larges qui recouvrent presque tout le corps, conséquence directe du climat capricieux du désert. Tous portent foulard et turban, nommé keffieh. Ceux-ci couvrant tout le visage, ne laissant qu'une mince partie pour les yeux et le nez pour ainsi éviter les morsures de l'impitoyable soleil. Les couleurs portées par les Kheijans varient selon leur goût entre l'ocre et les différentes teintes du sable. Cela n'empêche pas certains de porter plusieurs couleurs symboliques dont celles du sang et de la pénombre, rouge et noir.


Coutumes

Religion

Sehk (Narshoul)
Un dieu hargneux et fourbe qui privilégie la supériorité du fort sur le faible. Il met les Kheijans à l’épreuve à travers la souffrance afin de connaître leur force. Le peuple du soleil ne plie pas l’échine et est sans pitié face à ses adversaires, certains Kheijans vénérant Sehk adoptent une attitude élitiste également. Sehk est un dieu qu’on évite de décevoir.

Nakh (Kalos)
Nakh est le guide des morts, celui qui accompagne l'âme de ceux dont le corps vient de cesser de vivre. À la mort d'un être, il viendra prendre l'âme pour la conduire dans le Voriasham si celle-ci le mérite. Dans le cas contraire, il mènera l'âme dans des méandres de sable inconnu du Khandraas où, maudite pour l'éternité, elle errera, chantant sa peine entre les dunes.

Imkaj (Odéon)
Un guerrier prêt à charger balbutiera son nom afin qu’il l’encourage à demeurer digne face à l’ennemi, au même type qu'un bourreau justifiera l'application d'une justice stricte et impartiale par son nom. Imkaj est le dieu des guerriers et de la justice.

Din’ra (Kardin)
Il est la prospérité, la richesse. Din'ra est le Sithah des marchands, celui qui guide les caravanes, qui inspire les mots et prix justes au négociant. Nombre de commerçants possèdent une icône, une statuette ou une broderie représentant Din'ra dans leur échoppe ou dans le revers de leurs vêtements. Il apportera richesse à ceux qui l'honorent. Son nom est également associé aux festivités et banquets où il gratifiera gaîté et plaisir.

Adiya (Aeltisis)
Adiya est la divinité de la nature et la fécondité. C'est elle qui fit naître les Oasis dans le Khandraas et fait revivre chaque années les fleurs et les fruits. Elle apporte fécondité, mais aussi beauté et charme aux femmes qui la prient. Les hommes portent peu d'intérêt à cette dernière, elle n'est vénérée en majorité que par les femmes.

Thoteb (Kronos)
Thoteb est la divinité liée du temps et de l’équilibre. Dans son grand livre est conscrit les vérités du passé et du présent. Certains croient même que le futur y soit inscrit. Il est de plus le Sithah dont on invoque le nom lorsqu’un arbitre vient régler un litige. Symbole d’équilibre, il est aussi la représentation de la neutralité et de l’objectivité.
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MessageSujet: Re: BG Kheijan   BG Kheijan I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:02

Citation :

Croyances et famille

Croyances
La dureté de la vie dans le désert force ses survivants à s'adapter et à adapter leur manière de vivre, ordonnant et réglant leur Us et Coutumes au rythme du soleil, lui faisant prendre une place prépondérante dans leur culture. Le désert est le royaume du soleil, qui n'y prête garde et ne sait pas le considérer, respecter les pratiques ancestrales fixées par les premiers Kheijans, verra son espérance de vie fortement diminuée. Le soleil trône donc au centre de leur culture et est honoré régulièrement. Avec le temps, des rituels visant à honorer le soleil s'instaurèrent au sein des coutumes collectives, qu’ils nomment généralement Roi-Soleil, très haut ou bien encore tout-puissant.

La vision des Kheijans des autres divinités a fortement évoluée au cours de leur isolement dans le désert du Khandraas et ceux-ci ont développé quelques pratiques divergentes de celles d'autres peuples concernant les Cilias. Ainsi, les Kheijans ont leurs propres noms pour nommer les êtres supérieurs et leur attribuent divers rôles selon leur propre opinion de ceux-ci. Voici leur interprétation du panthéon, qu'ils nomment Al'Sithah. Ce panthéon fut traditionnellement représenté par le soleil, c'est ainsi que le Roi-soleil devint un symbole de l'ensemble des forces supérieures, gagnant en importance. Ainsi dans la culture kheijanne actuelle les différents Sithahs sont tous une part d'une unité supérieure. Dans la vie courante les kheijans ont pour habitude de se référer aux différents Sithahs selon la situation dans laquelle il se trouve, et évoque le roi-soleil de manière générale lorsqu'il est question d'honorer la volonté supérieure.

Famille
Les Kheijans sont polygames et leur société possède une mentalité patriarcale. Les femmes leur doivent respect et obéissance. Un homme, selon son rang, peut posséder plusieurs femmes, ce qui lui permet de prouver une puissante virilité et d'être reconnu par ses compères.
Bien que les femmes soient inférieures aux hommes chez les Kheijans, leur situation avec les années aura tout de même progressé grâce à leurs charmes et à leurs talents uniques. D’abord considérées comme n’étant bonnes qu’à procréer, elles utilisèrent les moyens dont elles disposaient afin de s’intégrer au sein du peuple Kheijan. Non pas par la rébellion, mais plutôt en faisant preuve de soumission exceptionnelle. En effet, par cet habile stratagème, certaines femmes sont parvenues à prendre plus de pouvoir que bien des hommes, parfois davantage que certains tatoués.

Avant d’en arriver jusque-là, le travail fut long et laborieux. La majorité des femmes ayant tenté de se rebeller contre l’autorité masculine, à quelques exceptions très rares, furent exécutées ou bien bannies. Les plus futées d’entre elles réalisèrent que la manière la plus simple de voir ses souhaits exaucés était de séduire un homme afin qu’il soit totalement épris d’elle et devienne suffisamment docile. Une fois ce stade atteint, l'époux est alors plus réceptif aux demandes et avis de sa femme. Celle-ci n'a plus qu'à glisser quelques petites remarques habillement placées entre deux compliments en servant le thé pour voir son souhait pris en compte.

Étant donné la nature polygame des hommes, ce sont les femmes qui élèvent les enfants jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge d'être "digne" de rencontrer leur père.

À la naissance, le jeune Kheijan est donc élevé par sa mère jusqu'à l'âge de 10 ans. Il est ensuite soumis au Rite de Passage. Le père de l'enfant l'amène dans le désert et le laisse s'y perdre, avec pour unique tâche de revenir en vie au point de départ.

Là, l'enfant devra démontrer une volonté de survivre et une autodiscipline rigoureuse puisqu'on ne lui aura fourni aucune provision, ni en eau ni en nourriture. S'il ne survit pas, il n'était qu'un faible donc il devra demeurer propriété du désert où on l’oubliera. Bien entendu, les hommes procréent allègrement avec plusieurs femmes et c'est ainsi que, d'entre tout ces rejetons, l'on voit ceux qui ont du sang fort.

Une fois l'enfant revenu, on lui donne son nom, n’étant apostrophé que par son prénom jusqu’à ce qu’il complète avec succès le rite.

L'union chez les Kheijans est très difficile d'accès. C'est l'homme qui doit demander la main de la femme et à ce moment, plusieurs éléments entrent en ligne de compte. Parmi ceux-ci se trouvent entre autres ; la situation sociale du prétendant, la famille à laquelle il appartient et l’état de ses richesses (puisque le père ou le tuteur demandera une dote afin de laisser sa fille aller afin de compenser pour sa perte et les tâches qu’elle n’accomplira plus au sein de la demeure familiale). Une fois les deux Kheijans unis, un grand banquet est organisé où figure plusieurs jeux et divertissements de tout genre (Combats d'animaux, présence de cracheurs de feu ou de lanceurs de couteaux... etc.).


Les valeurs

Conservateur
Vous considérez que la séparation des tâches entre l'homme et la femme est une loi de la nature. L'homme est fait pour diriger la famille, protéger et ramener de quoi vivre tandis que la femme doit entretenir le logis et élever les petits.

Nul ne peut déroger à cette règle, ce serait contre-nature et n'apporterait que malchance et inefficacité. Le respect des traditions et des valeurs est la seule morale juste.

Crainte de l'ésotérisme
Art secret et mystérieux, le contrôle de la magie reste l'apanage des Vizirs. La magie revêt de par sa rareté dans le Khandraas, un aspect mystique qui inspire la crainte et la peur dans le cœur des non-initiés. Ainsi il vaut mieux parfois reculer face aux moindres faits anormaux que de risquer de contrarier le dessein des Cilias.

Marchand
Négocier, marchander, commercer, troquer, établir des contrats. Le commerce est un art noble qui peut devenir un plaisir.

Avare
Un sou est un sou, et quelque soit sa fortune personnelle il n'y a aucun mal à négocier le prix d'un morceau de pain. L'argent est le nerf de la civilisation, et la richesse une fin en soi.

Paradeur
La fortune que l'on possède n'a d'importance que si les autres peuvent la voir. Il est donc normal de se parer de ses richesses et de les étaler aux yeux des autres, sinon à quoi servent-elles ?

Esprit de survie
La vie est un joyau, et sa propre vie est le plus brillant de tout les diamants. Vous n'hésiterez pas à prendre la fuite si cela doit vous sauver la vie. Après tout, l'histoire est écrite par les vivants.

Fraternel
La confiance se bâtie au fur et à mesure qu'une relation d'aide mutuelle se développe et il arrive un moment où l'on prend conscience que l'intérêt de l'autre peut également être le sien. Dès lors la fraternité s'installe.

Méfiant
Une situation étrangère, inconnue, cela peut apporter du bon comme du mauvais. Mieux vaut donc rester prudent et avancer en terrain préalablement exploré.

Amoral
Ce qu'une main prend lui appartient. Il n'y a donc aucune gène à voler une personne, c'est dans l'ordre des choses. Après tout il faut bien gagner sa vie comme on peut.

Familier
Inutile de compliquer les discussions d'un tas de formule de politesse sii l'on utilise déjà le nom et le rang de celui à qui l'on parle. Dès lors pourquoi le vouvoyer et employer tout un tas de formule au lieu de s'exprimer simplement.


Exemples de noms

Noms masculins

Hakim, Hazzad, Razzah, Kemar, Kohij, Aban, Kalahid, Kamil, Jaleed, Rukhan, Reom, Sanzar, Fahim, Imaldim, Khoep, Bahid, Kadir, Oemad, Sehim, Halum, Badir, Tehad, Zafir, Zahim

Noms féminins

Alkae, Fehama, Zekana, Salas, Annah, Alia, Sejjah, Vinara, Vehij, Sechpoura, Zaoffa, Enouhi, Kalaniah, Zaroubie, Saaz, Koubalih, Jiha, Haka, Azoukie, Kandhaa, Heldea, Soukie, Zarine

Les noms finissent souvent par "ir", "er", "ar" ou "s"


Langage

Bonjour - Kahim
Au revoir - Shalam
Oui - Vay
Non - Neh
Ami - Jelaad
Merci - Fahij
Négation - Nohem ou Neh
S'il te plait (ou vous) - Layfadj
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MessageSujet: Re: BG Kheijan   BG Kheijan I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:03

Annexes


Citation :
Code d'honneur Kheijan
Ils possèdent, comme cité ci-haut, un code d'honneur assez variant mais qui se doit d'être respecté en tout point et rares sont les Kheijans qui violent ces lois. Bien qu’elles ne soient écrites nulle part, tous les connaissent, puisqu’elles sont transmises de génération en génération et enseignées par les Vizirs. Ces lois s’appliquent également aux étrangers qui foulent le sol de leurs terres.

1-Aime ton sang et respecte les tiens
Chaque Kheijan est un allié, nous sommes un peuple uni et c'est dans l'unisson de nos sabres que l'ennemi tombera. Il existe toujours plus fort que soit alors c'est dans l'ordre et la fraternité que nous oeuvreront pour faire honneur aux Dieux.

2-Protège femmes et enfants
Tout homme se doit de protèger ceux qui ne sont capables de le faire par eux-même, c'est-à-dire les femmes et les enfants. Si la femme sait se battre alors elle se voit imposer le même devoir envers son peuple et ceux qui renferment la clé de notre vitale perpétuitée.

3-Une mort au combat est une mort digne
Il n'y a de mort plus honorable que la mort au combat. Défendant son peuple et défendant ses frères, nul ne verra sa vie amputée en vain. C'est le voeu du Cheikh et sa parole est directement liée à celle des dieux.

4-Si l'honneur d'un compagnon ou d'un membre du clan est bafouée, venge le
Aucun étranger ni même un membre de notre race ne se doit de salir l'honneur d'un frère. Si tel est le cas, le fautif se devra de recevoir la peine qu'il mérite, soit la mort par la main d'un proche membre de son clan.

5- Honnête tu seras quand bon te sembleras
L'honnêteté est une qualité que les autres peuples semblent apprécier, mais jamais tu n'es obligé de divulguer toute vérité. Jamais ton peuple ni ton honneur ne doit en souffrir.

6-Les Vizirs sont nos guides et ils doivent être écoutés
Les Vizirs sont en eux-même, la voix des dieux. Ils sont nos guides et ce n'est qu'en écoutant leur sages paroles que nous pourront un jour quitter cette terre pour voir des jours meilleurs.

7-La voix du Cheikh est absolue et jamais elle ne doit être questionnée
Le Cheikh est le représentant des dieux en chair et en os. Tous lui doivent respect absolu et totale soumission. Sa parole est divine et sa main est rédemptrice.

8-Apaise la faim de ton frère et respect tu recevras
Il n'y a rien de plus gratifiant que d'apaiser un frère dans le besoin. Que ce soit en or, en bijoux, en nourriture ou en eau, celui qui solidifiera les liens qui nous unissent se verra glorifié par les dieux eux-mêmes.

9-La gloire est dans l'or, alors plonges-y ta main
L'Or est signe de victoire, symbole de puissance et de prestige. Il enrichit l'individu et lui permet une meilleur qualité de vie, alors si moyens radicaux tu dois prendre pour en avoir, alors prend les. Prendre l'or d'un frère est un grave manquement à l'honneur et est puni d'autant plus gravement.

10-Toute personne considérée comme un ennemi ne doit recevoir aucune pitié
L'Ennemi blesse, tue, vole et crache sur l'honneur de tes frères. Alors il ne mérite ni ne recevra la moindre pitié. Il n'existe aucun traître moyen contre l'ennemi. Il présente une menace pour le peuple Kheijan, il se doit donc d'être éliminé à tout prix.


Citation :
Les chevaux et l’Akhal'Khei
Il est bien connu à travers les landes que les Kheijans sont un peuple de chevaliers et de chevaucheurs. La survie des hommes et des femmes, autant dans les déplacements que dans les combats, dépendait des cehvaux. Certaines personnes expliquent le fait que les hommes du désert vivent très près des chevaux de cette façon.

En réalité, leur attachement aux chevaux est très différent de ceux des Hastanes. Il s’agit d’avantage d’un lien qu’ils partagent avec eux, une communion. Il ne s’agit pas uniquement de chevaliers qui respectent leurs montures, mais plutôt la totalité du peuple. Plusieurs récits relatent et expliquent l’existence de ces bêtes hors du commun, mais tous les nomment de la même façon : Akhal’Khei.

L’Akhal’Khei est respecté par tous les Kheijans, il est pratiquement sujet d’un culte. Les hommes du désert parcourent les landes arides fréquemment, et ils savent qu’ils n’y arriveraient pas sans l’aide de leurs montures tellement les terres sont vastes. Ils ne voient pas ces chevaux comme leurs serviteurs, mais comme partenaires à qui ils confient leur vie. Ils savent que bien que les Akhal’Khei soient dévoués, ils sont d’abord sauvages et partiront si ils sont utilisés comme du simple bétail, ne se laissant domestiquer que par des hommes et femmes de sang Kheijan et n’acceptant pas d’être traités comme inférieurs. Ce sont de fiers destriers qui ne plient pas l’échine devant les ordres, ils coopèrent et travaillent de concert avec leur cavalier. C’est pourquoi un Kheijan traitera sa monture comme son égal. Parfois, le lien entre la monture et son maître est tellement fort que le cheval n’aura pas à se faire diriger, il saura ou aller.

Un Kheijan nommé par le Cheikh en personne, le Jahal’Khei est le chef palefrenier de la cité. Il est chargé de veiller à ce que tous traitent les Akhal’Khei comme il se doit, et c’est lui qui les confiera aux Kheijans, ceux-ci étant rares, tous ne peuvent en posséder un, il faut en être digne. Il est aussi tenu de s’occuper du registre des Akhal’Khei possédés par les autres peuples. Puisque bien que les Akhal’Khei ne soient pas traités comme du simple bétail et que, règle générale seuls les Kheijans les chevauchent, on fait parfois cadeau de ces montures à des cavaliers d’autres races, par gage de respect. Très rare sont les personnages de sang non-Kheijan qui pourront dire posséder un Akhal’Khei.

Leur pelage de couleur or témoigne de la force qu’ils tirent du Roi-Soleil. On dit également que la couleur qu’ils ont dépend du moment de la journée auquel ils sont nés, variant du jaune de l’aurore à l’orangé crépusculaire. Le plus rare, auquel un attribue une naissance lors d’une éclipse solaire est l’Akhal’Theke, sa robe est noire de jais.
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