Les Djezzirs serviteur du Triangle des Sables.
Histoire
Il y a de cela des années, des siècles. Lors de la dynastie du troisième Cheikh, héritier du trône descendant de la digne lignée du Cheikh, le benjamin des enfants du Cheikh fut nommé. Il hérita du trône, non parce qu’il était le plus fort, non parce qu’il était le plus intelligent, mais parce qu’il avait une foi absolu et aveugle en le clan Vizir et surtout le Grand Vizir. Par une poussée, des murmures convaincants, il fut nommé par la simple notoriété du Grand Vizir. En son élévation en tant que Cheikh, le Grand Vizir avait le pouvoir absolu, il le dirigeait comme une simple marionnette. Par son charisme le Grand Vizir pu plonger abondamment les mains dans les coffres d’or de la nation. De ce gain naquit de nombreux projets ; la ferme de Tardah, la couvé d’herbe a fumé de la rose du Khandraas, l’écurie privilégié mais un projet ressortit parmi les autres, nommé merveille du Khandraas; la pyramide.
Plusieurs Kheijans de renommé, sans être nécessairement tatoué, fournirent bon nombre de têtes afin d’érigé la pyramide. Des esclaves majoritairement, des fils d’homme voulant bénéficier de la grâce du Grand Vizir et de nombreux vaillant. Des bêtes trainaient les blocs de granite érigeant une structure pyramidale allant jusqu’aux nuages, rejoignant le tout puissant. En l’honneur de l’Al’Sithah, disaient certains. Malheureusement, Nakh pu se réjouir de cette construction, beaucoup d’esclaves mourraient, et dans leurs mort en apportaient d’autres par la maladie. Des rumeurs courraient que certains voulaient arrêter définitivement cette construction, le ratio de mort était si-haut que certains craignaient la force des Dieux. De sa prestance encore, le Grand Vizir fit valoir ses relations, et la pyramide se continuât jusqu'à la fin du sommet architecturale.
La Pyramide.
De cette construction nait un secret. Un des mieux gardé, puisqu’il l’est que par un très faible nombre d’hommes. Des rumeurs disent que la pyramide est en fait une tombe ayant précédé le Mastabah. Où le même Grand Vizir qui l’a construite, y repose désormais dans sa glorieuse demeure. D’autres disent que l’entrer sceller par un mur, par un code, par un portail Vizir, est la poursuite de la Pierre Noir celle qui a fait devenir fou Iskanet lui-même. D’autres explorateurs, rapportent que la pyramide renferme les trésors de tous pêcheurs, l’or en abondance. Le mystère découvert par une minorité de Vizir, aujourd’hui la pyramide renferme les secrets de nombreux écrits, dictats, pensées, sur les vérités absolu et infaillible sur pierres de granites. Les plus destructeurs, les plus saints, les plus vrais.
L’héritage du Grand Vizir
À la mort du Grand Vizir, certains vizir ayant travaillé de concorde avec lui, décidèrent pour sauvegarder ces secrets de tous œil. L’entrer fut sceller de code verbal, la première salle fut défendu par des membres d’Iskanet ayant échu au Voriasham afin de faire peur et de rebrousser tout aventurier par la malédiction. Les portes barrés, et fermé hermétiquement par la force des dons Vizirs. Le lieu étaient scellé définitivement.
Mais cela ne suffisait pas. Les Vizirs avaient besoin d’une assurance supplémentaire. C’est alors que sous silence, ils rencontraient des hommes de vertus, pouvant remplir la tâche, des hommes habitant Najar’Him, et quelques femmes. Les hommes et femmes reconnus par les Vizirs était aussi bien un notoire Pacha, que le boulanger ou même le soigneur. Une fois l’appel fait, l’homme en question celui qui était assujettis aux paroles Vizirs devenait Djezzirs. Ils furent tous marqué par d’énormes cicatrices cachées, au dos pour la plupart.
Le Clan Djezzirs
De la polémique des sables nait un clan, un divin guerrier, les Gardiens de la véritable ; la pyramide. Des hommes scellés d’un pacte par un tatouage secret en forme triangulaire caché de vue de tous. De l’origine de la pyramide, ils ont le but de défendre ses secrets, le secret des tombeaux, de tout œil pervers étranger n’appartenant pas au cercle des Vizirs…
Les Djezzirs sont maintenant parmi nous, indétectable, mais présent. Remplaçant les anciens, les grand pères, des pères, des fils, conservant les secrets infaillibles inconnus.