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 BG Najar'Him

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MessageSujet: BG Najar'Him   BG Najar'Him I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:09

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BG de Najar'Him
La perle du désert

Prologue

Enfin ! Après plusieurs années d’attente, en ce jour où le soleil frappait de plein fouet les dunes de Najar’Him, on vous a donné votre chance. Vous venez de passer les épreuves d’entrée dans le clan Pacha, non sans mal.

Pourtant vous n’êtes pas au mieux. Vous savez que si vous avez échoué vous retournerez à votre vie de bohème et de mendiant, celle à laquelle vous voulez échapper depuis tant d’années, dans les ruelles sombres de la cité du Soleil. Mais si vous avez fait vos preuves, on vous tatouera la marque que vous attendiez depuis si longtemps, les grandes portes de la cité du désert vous seront ouvertes, vous aurez enfin toute la reconnaissance que vous attendiez et vos efforts auront enfin porté leurs fruits ! Envahi par un espoir teinté d'inquiétude, vous contemplez du haut des montagnes du Sud cette cité qui déterminera votre avenir...


Politique

La cité est actuellement régit par la loi du Cheikh. Celui-ci est maître absolu de la ville, considéré comme supérieur à tous, fils du Soleil, élu par Al'Sithah (l'ensemble des cilias selon les kheijans), pour le bien de son peuple. Le Cheikh actuel est le descendant du premier Cheikh, homme de fort charisme et fin stratège qui avait su s'imposer comme chef incontesté des insurgés hastane, fondateurs de Najar'him et premiers à prendre le nom de kheijans.

D'un point de vu légal le Cheikh possède le pouvoir absolu sur le Khandraas, et ce dans tous domaines. Cependant gérer la cité des sables représente une vaste tache et en bons dirigeants les Cheikhs successifs ont su s'entourer d'hommes de confiances pour les aider à administrer la cité et maintenir la cohésion de ses habitants. Dans les faits, le Cheikh participe rarement à la vie de Najar'him et n'intervient que pour de grandes décisions ou des situations particulière. Il garde un œil sur chaque fait et événement se produisant sur son territoire et n'agit que si ses hommes ne peuvent prendre en main la situation.

Najar'him est cependant une ville soumise à un traditionalisme et à de très fortes croyances. Depuis les premiers temps de sa création la cité est éduquée et soudée grâce à un groupe d'hommes sages et savants. Ces hommes, de par leurs talents d'orateur, leurs connaissances dans divers domaines dont la science et l'ésotérisme, ont su galvaniser le peuple dans les moments difficile, l'appeler à l'unité, fournir des explications à des situations inexplicables, et consolider la position du Cheikh en confirmant son autorité terrestre par des volontés célestes.

Le Cheikh prît donc rapidement en considération ses hommes et s'appuya sur leur savoir-faire pour assoir son autorité, gagner le soutient d'hommes intelligents et unir son peuple. En contrepartie ces hommes gagnèrent une reconnaissance officielle et un statut de plus en plus important dans la cité. Ils prirent le nom de clan Vizir. Aujourd'hui ce clan représente une part importante de la société de Najar'him car il est souverain en matière d’us et coutumes, de savoir et d'enseignement ainsi qu’en religion et en magie.

En plus de ces deux clans, la cité possède un conseil, le Dajaan, qui regroupe régulièrement l'ensemble des hommes de la ville. Chaque homme a la parole dans le Dajaan, et tous peuvent voter lorsque ce conseil prend une décision. Les décisions du Dajaan sont généralement validées par le Cheikh et prennent force de loi. Cependant le maître de Najar'him possède le droit de prendre décision envers et contre tout avis. Le vote au cours du Dajaan n'est pas égalitaire, le nombre de voix par tête variant en fonction du rang de la personne, allant de une pour un Elehl'Azir à quatre pour le Al'Pacha et le Grand Vizir. Il est cependant rare de voir le Grand Vizir ou le Al'Pacha participer au vote.

Les deux clans de la cité sont composés des hommes les plus dignes de Najar’him, s’occupant du bon fonctionnement de la société. Il n’est pas envisageable d’occuper un rôle parmi le peuple sans être tatoué de la marque d’un des deux clans. Ceux qui n’en font pas partie sont nommés Elehl’Azir. Les Elehl’Azir n’ont pratiquement aucun droit ni intérêt pour le peuple, il ne tient qu’à eux de faire leurs preuves en tant qu’aspirants à un clan afin d’y être accepté.

Il est à noter qu’accéder à un des clans n’est pas chose simple, les critères sont très rigoureux, et il n’est pas rare qu’un homme attende plusieurs années avant d’être simplement invité à prendre part à un rite d’initiation. Parvenu à ce point, l’aspirant doit passer certaines épreuves visant à voir s’il est digne d’entrer dans le clan, et ici aussi il ne doit commettre aucune erreur, car un Najar'kah se voit très rarement offrir une seconde chance.

Les deux clans se partagent l'autorité sur les terres du Cheikh :

• Les Pachas forment un vaste clan. Ils forment l'élite militaire, imposent les lois et dirigent les hommes sur les champs de bataille. Ils ont également en charge les affaires marchandes et diplomatiques.
• Les Vizirs qui se préoccupent de la culture, de la conservation des traditions et du respect des croyances. Ils veillent à ce que le peuple reste dans le droit chemin. Leur parole est d'or.

Les Clans

Le clan Pacha

Histoire

Peu après sa prise de pouvoir sur le groupe de nomades que formaient les Kheijans, le Cheikh choisit une poignée d’hommes en qui il avait confiance et qui lui vouaient une inébranlable dévotion pour assurer le respect de son autorité et faire régner l’ordre. Il leur confia sa protection ainsi que d’être sa voix au sein du peuple, son bras armé. A leur commencement, l’unique source de revenus pour les Kheijans était les brigandages, les pillages, et les divers raids sur les étrangers. Mais la vie de nomade était rude, difficile, et le peuple finit par manifester une envie de se sédentariser. Afin de satisfaire cette demande, le Cheikh chargea donc les Pachas d’une triple tâche à accomplir : veiller à faire régner l’ordre, développer et administrer le commerce (plus ou moins légal) avec les autres cités et veiller à améliorer les relations diplomatiques pour permettre à Najar'him, nouvellement fondée, de croître sans devoir subir les assauts d'armées étrangères. Le clan Pacha a conservé ses prérogatives et a su imposer sa puissance et son autorité.

Structure et hiérarchie

Le Clan Pacha se structure en trois rangs principaux. Par ordre hiérarchique croissant on retrouve :
● Les simples Pachas : hommes d'armes ayant fait leurs preuves et dont la fidélité au Cheikh et la rigueur de leurs pensées ne peuvent être mises en doute. Ils ont pour tâche de faire respecter l'ordre, la défense du peuple à l'intérieur et à l'extérieur du Khandraas et, selon leurs propres talents, des responsabilités dans le commerce ou la diplomatie. Les Pachas nouvellement nommés sont tatoués au front de trois traits verticaux parallèles, représentant respectivement, à droite le Roi-Soleil, à gauche le peuple, et au centre, le trait un peu plus long, le Cheikh.
● Viennent ensuite les Akh'Pachas dont le nombre se limite bien souvent aux doigts d'une main. Il s'agît de Pachas ayant su montrer leur intelligence et leur honneur au cours d'une affaire. Ils ont en main toutes les situations où ils se trouvent et y appliquent leur autorité. Les Akh'Pachas peuvent se spécialiser dans le domaine du commerce ou de la diplomatie mais gardent dans tout les cas leur statut d'hommes de loi et d'armes.
● Enfin, tout en haut de la hiérarchie, on retrouve le Al'Pacha, maître du clan il est libre de toute décision dans les trois domaines de compétence du clan et ne répond de ses choix qu'au Cheikh.

L’aspect militaire

À travers les Pachas, le Cheikh peut veiller à ce que le peuple demeure fraternel. Avec le temps et l’évolution démographique, ces hommes passèrent du statut de garde personnelle à celui d'une véritable force militaire et furent nommés Pachas. Ils sont l’image d'un peuple organisé et fort, font la fierté de la population de Najar’Him par leur rigueur et l’idéal de puissance qu’ils projettent. La plupart savent qu’il ne faut pas se moquer d’un Pacha car les sanctions imposées par ces derniers ne sont pas des plus clémentes (lapidation, poteau du soleil, flagellation, décapitation, autodafé, etc.). Ils rendent une justice implacable, intransigeante, violente et sans délais, appliquant leurs châtiments sans hésitation et sur le champ. Pour les manquements au code d’honneur les plus graves qui nécessitent une réflexion avec les supérieurs, les sanctions s’appliqueront généralement en public afin de servir d’exemple pour le reste de la population.

Leur juridiction s’étend sur tout le Khandraas, trouvant sa limite à ses frontières. Néanmoins, ils se placeront sans hésiter en première ligne lors de combats extérieurs afin d’intimider l’ennemi. Les Pachas sont de fiers combattants qui préfèreront mourir dans l’honneur que battre en retraite, sauf pour conduire les assaillants dans un piège. Cependant, bien qu’ils soient redoutablement féroces et dévoués corps et âme à la protection du peuple, ils ne sont pas non plus des brutes sanguinaires sans cervelle, ils établissent leurs tactiques de manière réfléchie et éviteront de se lancer dans un conflit perdu d’avance. Autrement dit, ils n’hésiteront pas à se sacrifier, mais jamais inutilement.

L’aspect diplomatique

La diplomatie n’est pas ouverte à tous. Elle est généralement gérée par un ou plusieurs Akh’Pacha, qui rapportent régulièrement l'état de leurs travaux au Al'Pacha. Certains Pachas peuvent également se voir confier des responsabilités diplomatiques plus ciblées. Ils n’agissent qu’en obtenant l’accord préalable de leurs supérieurs.

Les diplomates sont chargés de tâches diverses. Ils doivent s’assurer de donner une image saine du peuple de Najar'him à leurs alliés, et donc, d’entretenir avec ceux-ci les meilleures relations diplomatiques possible et de veiller à ce que rien ne les perturbe. Cela implique qu’ils contrôlent les actions illégales et non-officielles de manière à ce qu’elles soient sans conséquences graves sur le plan diplomatique. Les diplomates Pachas doivent être maîtres dans l’art d’adapter la réalité à leur avantage afin de faire paraître un voleur aussi chétif et innocent qu’un nouveau né.

L’aspect marchand

Certains Pachas ne sont pas particulièrement doués dans l’art de la diplomatie et du combat. Ceux-ci sont tatoués pour leurs compétences artisanales et leurs talents de marchand. Ces Pachas sont maîtres du commerce en Najar’him. Ils ont le pouvoir de décider qui vend quoi et à qui. Les Pachas travaillent en étroite collaboration avec les diplomates et les femmes puisque la majeure partie de leurs biens proviennent de butins et rapines et parce que les alliances diplomatiques avec les autres peuples concernent souvent le commerce. Ils font également la promotion des produits du désert qu’ils fabriquent ou extraient eux-mêmes. C’est de cette façon qu’ils parviennent à blanchir la marchandise volée et à la distribuer, la dissimulant à travers leurs créations. Ils sont néanmoins très fiers de leurs créations, donc si la marchandise étrangère volée risque de ternir leur réputation ils l’écouleront tout simplement sur le marché noir. Les Pachas sortent de Najar’him en compagnie de caravanes afin de rendre visite aux autres peuples et ainsi faire la promotion de leurs biens. Ils impliquent également très fortement les femmes artisanes à leurs activités commerciales.

Le cercle Seljah

Bien des rumeurs circulent à propos de ce cercle. Personne ne sait exactement s’il existe réellement. On dit que seul le Al'Pacha, le Grand Vizir et le Cheikh seraient au courant de son existence. Il s’agirait d’un ordre d’assassins administré par le Al'Pacha afin de châtier ceux que le clan Pacha ne peut atteindre par la diplomatie ou la force. Bien qu’on ait tendance à le croire logique, les rumeurs ne précisent pas s’il faut être Pacha ou non afin de faire partie de ce cercle. Quoi qu’il en soit, toute l’incertitude à son propos confirme son parfait hermétisme. Certains affirment avec véhémence avoir fait partie de ce cercle, mais aucun haut dirigeant n’a jamais confirmé la véracité de leurs dires et à chaque fois, la rumeur est vite oubliée.

Le Ayn'Pacha

Il s'agît là d'un statut bien particulier au sein du Clan Pacha. En effet, cet homme, guerrier aux talents redoutés de tous, est le garde personnel du Cheikh. Il veille à sa sécurité jour et nuit et ne quitte son maître que sur ordre de celui-ci. Personne, à l'exception du Cheikh, qu'il s'agisse même du Al'Pacha ou du Grand Vizir ne peut lui donner d'ordre.

Hiérarchie Pacha

- Al'Pacha – Chef de clan.
- Ayn'Pacha - Protecteur personnel du Cheikh dont l'avis a valeur contraignante.
- Akh'Pacha – Élite Pacha, officier du chef de clan, diplomate.
- Pachas – Soldats, responsabilités diverses selon les compétences.

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MessageSujet: Re: BG Najar'Him   BG Najar'Him I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:09

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Le clan Vizir

Histoire

Le clan Vizir est la seule institution de Najar'him qui n'est pas directement issue de la volonté du Cheikh. Étant d’abord un regroupement d’érudits s’étant réuni alors que le Cheikh prenait le pouvoir, ils furent les seuls à étudier et utiliser la magie alors que le temps passait et que la connaissance de cet art devenait oubliée par tous les autres. Le fait qu’ils ne comprenaient pas cet art occulte fut suffisant pour qu’il inspire la crainte et le respect parmi les autres hommes. Mais leur crédibilité provient surtout du fait qu’ils étudièrent le désert et son cycle. Se servant de leurs connaissances, ils conseillèrent le peuple afin de les aider à s’adapter au rythme du soleil. Ils aidèrent à trouver et exploiter les ressources naturelles du désert nécessaires à leur survie et de ce fait, le peuple leur fut très reconnaissant. Les conseils devenant des coutumes, elles prirent une importance cérémonieuse, le groupe devint le clan Vizir.

Voyant leur pouvoir grandir peu à peu et perdant sa force au profit de la sagesse avec l’âge, le Cheikh, afin de conforter sa position en tant que chef, consulta celui qui s’imposait comme leur dirigeant et conclut une entente avec lui. Les Vizirs devinrent un clan et le Grand vizir, devint le conseiller du Cheikh. Le culte du soleil devint si important qu’au moment de la nomination du Grand Vizir, les Kheijans l’appelaient déjà Roi-Soleil et l’honoraient à travers des rituels organisés par les Vizirs. Le Cheikh ne devint pas moins que le fils de ce Roi-Soleil, et les Vizirs se firent les maîtres à penser du peuple, afin de le leur faire savoir. Puisqu’ils étaient dotés de connaissances bien plus poussées que celles de la moyenne du peuple et avaient entre leurs mains une force immense et souvent incomprise par les hommes en général, la magie, ils en tirèrent profit afin de le guider, non nécessairement pour les abuser, mais car ils croyaient que leur influence rendrai le peuple plus fort et plus puissant grâce à leur érudition. Puis, avec le temps, tous leurs rituels devinrent si bien ancrés dans la vie quotidienne qu’ils en oublièrent les origines et finirent par y croire aussi fermement que le peuple l’avait toujours fait.

L'émancipation du peuple du désert, l'ouverture du commerce et la communication avec les autres races apportèrent des connaissances supplémentaires aux Vizirs sur les Cilias et les confortèrent dans leur rôle de contrôle du culte. Le Roi-soleil demeura cependant la marque des hommes du désert, les protégeant par la rigueur qu'il impose dans les sables, affaiblissant ceux qui ne le connaissent pas, donc tout étranger au peuple des dunes. C’est ainsi que les Vizirs, selon leur interprétation propre, instaurèrent au sein des croyances le panthéon sous le nom de Al’Sithah et chaque Cilias y a place, sous des noms choisis par les Vizirs, soit, Sehk, Nakh, Imkaj, Adiya, Din’ra, et Thoteb, accordant à chacun un aspect de la vie dans le Khandraas. Ils édifièrent cinq autels au nom de chacun, leur attribuant divers présages, organisant des cérémonies afin de les honorer et diverses festivités en leurs noms. Ils expliquèrent à tous que le Roi-Soleil est l'expression et le symbole de ce panthéon, que ces cilias dont les autres peuples parlaient n'étaient rien d'autre que ce qu'il connaissait depuis les temps premiers par les manifestations de l'astre solaire. Al'Sithah s'implanta plus fermement dans la société sous l'égide des vizirs. Adiya, dont l'image et les pouvoirs se rapprochaient des symboles et devoirs des femmes, gagna rapidement l'intérêt et le respect de celles-ci. Les vizirs ne trouvant pas de raison particulière à garder un contrôle absolu sur le culte de ce Sithah confia aux femmes de Najar'him la tâche de l'honorer et de lui dévouer un digne culte au nom de l'ensemble des habitants du désert.


Structure et hiérarchie

Le clan Vizir est organisé en deux branches principales :
● La première contient les érudits ainsi que les prêtres. Ces hommes sont les plus conservateurs de Najar’him, on les respecte énormément. Ils ont leur mot à dire sur tout ce qui se passe puisqu’ils sont ceux qui savent interpréter les signes et présages d'Al'Sithah, le Roi-Soleil. Ils sont les plus sages, les plus malins et les plus savants de Najar’him. Leur rôle consiste à s’assurer de guider le peuple dans son meilleur intérêt, et de transmettre les coutumes ancestrales du peuple à chaque nouvelle génération, veillant à ce qu’elles soient respectées et honorées.

Afin de s’assurer de conserver leur notoriété parfois fragile, puisqu’ils peuvent œuvrer d’une manière contestable, bien qu’on ne le leur dit pas et qu’on les écoute sans rechigner, ils adoptent pour la plupart une attitude distante et mystique, évitant de trop sembler amicaux ou faciles d’approche. Ils sont très moralisateurs et adoptent d’ailleurs une attitude très hautaine mais n’auront cependant aucun mépris pour leurs frères, puisqu’ils sont en quelque sorte leurs enseignants. Ils se retrouvent souvent seuls, entre Vizirs, afin de parfaire leurs connaissances ou bien les partager mais se mêleront souvent au peuple pour dicter la conduite d’un homme ou d’un autre, les inviter à la prière collective ou bien délivrer les paroles du Roi-Soleil en leur racontant de vieilles légendes moralisatrices, des mythes quelconques, des histoires de malédictions ou des évènements passés dont il faut tirer leçon. Ils parleront également de l’avenir qu’ils voient à travers divers présages d'Al'Sitah qu’ils sont les seuls à pouvoir interpréter.

● La seconde branche des Vizirs, celle des thaumaturges, est la plus occulte du clan. Ils sont très difficiles d’approches, demeurant en retrait et en groupe, se considérant comme supérieurs au reste du peuple. Ils perfectionnent leur art, loin des autres qui craignent la magie, et évitent de la mentionner ou bien de divulguer trop d’informations à ce sujet, préférant laisser croire au peuple ce qu’ils veulent, conservant ainsi leur emprise sur eux et de ce fait leur notoriété et leur pouvoir de par la crainte qu’ils suscitent. La majorité est persuadée que leurs pouvoirs magiques prennent leurs sources directement de l’énergie d'Al'Sitah, et c’est pourquoi ils ne s’insurgeront jamais contre un Vizir thaumaturge. De ce fait, ces derniers n’utiliseront jamais leur magie contre un enfant des sables ou inutilement. Un Elehl'Azir serait choqué de voir l’énergie du Roi-Soleil « gaspillée », et ces vizirs perdraient toute leur crédibilité s'ils osaient utiliser la force d'Al'Sitah contre un homme de Najar'him. Ces croyances, en lien avec la magie, expliquent également pourquoi ils détestent la magie étrangère, sachant qu’elle ne provient pas du soleil, les Vizirs thaumaturges la déclarent comme étant maléfique.

Lorsqu’un Vizir thaumaturge, s’aperçoit qu’un Elehl’Azir maîtrise l’art de la magie, il l’encadrera rapidement et le poussera à agir de la même manière qu’eux. Si le Elehl’Azir s’obstine et utilise mal la magie, il sera vite déclaré comme étant un charlatan ou bien comme quelqu’un utilisant la magie maléfique, puisant sa source ailleurs que dans Al'Sithah et il risquera alors le bûcher, dans le meilleur des cas…

Le tatouage caractérisant les vizirs est un œil dans la paume de la main droite, symbolisant l’œil omniscient. Il n’y a pas d’Al’Vizir, le chef du clan est le Grand Vizir, et contrairement aux autres clans, le Cheikh ne se mêle pas de leurs affaires, à moins que le Grand Vizir ne se mette à agir de manière trop compromettante et qu’il doive être rappelé à l’ordre.
C’est Le Grand Vizir qui officialise les membres du clan à travers les rituels d’initiation. De ce fait, les Vizirs, bien que fidèles au Cheikh et incitant le peuple à l’être, iront chercher conseil auprès du Grand Vizir plutôt qu’auprès du chef du peuple.



Hiérarchie Vizir

- Grand Vizir – Chef de clan.
- Akh'Vizir – Élite Vizir, officiers du chef de clan.
- Vizirs – Érudits, prêtres et thaumaturges réguliers, répartis sous le contrôle des Akh selon leurs compétences.


Religion

Al'Sithah

Sehk (Narshoul)
Un dieu hargneux et fourbe qui privilégie la supériorité du fort sur le faible. Il met les Kheijans à l’épreuve à travers la souffrance afin de connaitre leur force. Le peuple du soleil ne plie pas l’échine et est sans pitié face à ses adversaires, certains Kheijans vénérant Sehk adoptent une attitude élitiste également. Sehk est un dieu qu’on évite de décevoir.

Nakh (Kalos)
Nakh est le guide des morts, celui qui accompagne l'âme de ceux dont le corps vient de cesser de vivre. À la mort d'un être il viendra prendre son âme pour la conduire dans le Voriasham, si celle-ci le mérite. Dans le cas contraire, il mènera l'âme dans des méandres de sable inconnu du Khandraas où, maudite pour l'éternité, elle errera, chantant sa peine entre les dunes.

Imkaj (Odéon)
Un guerrier prêt à charger balbutiera son nom afin qu’il l’encourage à rester digne face à l’ennemi, au même type qu'un bourreau justifiera l'application d'une justice stricte et impartiale par son nom. Imkaj est le dieu des guerriers et de la justice.

Din’ra (Kardin)
Il est la prospérité, la richesse. Din'ra est le cilia des marchands, celui qui guide les caravanes, qui inspire les mots et prix justes au négociant. Nombre de commerçants possèdent une icône, une statuette ou une broderie représentant Din'ra dans leur échoppe ou dans le revers de leurs vêtements. Il apportera richesse à ceux qui l'honorent. Son nom est également associé aux festivités et banquets où il apportera gaîté et plaisir.

Adiya (Aeltisis)
Adiya est la divinité de la nature et de la fécondité. C'est elle qui fit naître les Oasis dans le Khandraas et fait revivre chaque année les fleurs et les fruits. Elle apporte fécondité, mais aussi beauté et charme aux femmes qui la prient. Les hommes portent peu d'intérêt à cette dernière et est donc vénérée en majorité par les femmes.

Thoteb (Kronos)
Thoteb est la divinité liée du temps et de l’équilibre. Dans son grand livre est conscrit les vérités du passé et du présent. Certains croient même que le futur y serait inscrit. Il est de plus, le Sithah dont on invoque le nom lorsqu’un arbitre vient régler un litige. Symbole d’équilibre, il est aussi la représentation de la neutralité et de l’objectivité.


Relations

Traditionnellement isolée par sa position géographique hostile aux visiteurs et par ses croyances religieuses sacralisant le Khandrass, Najar'Him a longtemps entretenu des relations houleuses avec les nations étrangères. Aujourd'hui, avec la plus grande ouverture aux autres communautés raciales et à la propagation de leur foi chez les autres peuples, la perle du désert est beaucoup plus ouverte aux échanges avec l'extérieur. La plupart du temps, son attitude face aux autres cités est déterminée par son histoire et ses relations passées avec celles-ci.

Entretenant une certaine ouverture commerciale et stratégique avec Citria, Hildrim, Illidelwis et Tyrimar, Najar'Him voue cependant un dégoût palpable par rapport à Mortancia et à Luk'Maar. Ayant longuement été en guerre dans le passé et ayant proféré des actes honteux face au joyau du désert, Mortancia et Luk'Maar sont ainsi toujours redoutés sur le plan diplomatique. Finalement, Najar'Him demeure méfiante face aux Cent-Pointes et à Sombrum. Conscients que plusieurs de leurs propres citoyens font des affaires d'or avec ces cités, les dirigeants du Khandrass ne souhaitent guère trop s'avancer par rapport à ces relations ; le statu quo reste la position la plus bénéfique.
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